22 Nov Souverainisme et sécession ?
Dans la dissidence se répand l’idée de la sécession pour faire face à l’appauvrissement de la démocratie.
L’idée étant qu’il faut chercher à se déconnecter de tous les outils de distribution mainstream pour avoir sa propre culture, sa propre énergie, son propre emploi.
Il est évident qu’à l’heure du déferlement totalitaire et des pénuries, l’autonomie relative des individus doit progresser.
En tant que souverainistes pour la France, nous considérons que la communauté nationale doit avoir la main ferme sur son destin. Cela est manifestement incompatible avec la sécession des membres de notre mouvement !
La sécession du corps social et électoral conduit soit à la disparition de notre pensée de la communauté nationale soit à la révolution violente. Forces Vives ne souhaite pas de révolution et encore moins disparaître. Cette idée de sécession en masse est un piège pour nous ! Cela doit rester individuel et bienveillant.
Tout en encourageant les individus à accroitre leur résilience individuelle, la mondialisation des échanges se rétractant, nous souhaitons une forme différente de sécession : la sécession de nos adversaires !
- La médecine de plateau ne doit plus être pratiquée sur le terrain. L’augmentation considérable du nombre des naturopathes est un témoignage que la médecine officielle perd du terrain.
- Les médias officiels ne doivent plus gouverner l’opinion. L’augmentation considérable du nombre de canaux alternatifs et de leur audience est un témoignage d’une perte de contrôle.
- Les réseaux locaux doivent se séparer des organes nationaux : la rébellion de certaines mairies, de certains antennes locales d’ordre ou de syndicat est une bonne chose.
- Nos transactions doivent se débanquarisées autant que possible pour empêcher le contrôle de la situation par les banque transnationales.
Lorsque ceux qui nous gouvernent en transférant toutes nos souverainetés à des organismes supranationaux non élus n’auront plus aucune prise sur le terrain, le changement s’opérera de lui-même. Voilà la sécession que nous devons provoquer !